đŸ“· 👀 Expo Croix Rouge âœ…

Journée mondiale du Refus de la MisÚre: Le 17 octobre

Expos

La grande premiĂšre a eu lieu Ă  l’Eglise Saint-Leu Saint-Gilles de Paris en Janvier 2014 et a durĂ© plusieurs mois, tout un hiver. Un lieu idĂ©al et osĂ© Ă  la fois. Ils oeuvrent Ă©normĂ©ment pour les exclus de la rue. Puis lors de la longue tournĂ©e en salle d’ABDM: il y a eu Questemebert en Bretagne avec un duo cinĂ©ma et exposition « arrĂȘt sur image ». Le Grand Palais pour le pilote du film, des expositions scolaires, auxquelles je n’ai pas pu Ă  chaque fois me rendre etc. etc.. Puis lĂ , un ami bĂ©nĂ©vole de la Croix Rouge de Bourg la Reine en 2017 m’a sollicitĂ© et nous l’avons fait. À nouveau, l’expo et le film : Au Bord Du Monde. Il est Ă©vident que je ne fais pas valoir de droits, et que si je gagne de l’argent avec la vente d’une image, je redonne cela systĂ©matiquement. J’appelle cela participer. Il n’y a pas non plus de buffet. Ce choix d’images est restĂ© aux mains de la Croix Rouge et a circulĂ© localement dans ce dĂ©partement


Projections

« Les Autres Â» 25 e Festival de Visa pour L’Image 2013 et au 9 e Angkor Photo Festival : https://www.2e-bureau.com/wp-content/uploads/2020/11/dp_ANGKOR_PHOTO_FESTIVAL_2013_fr.pdf (70 images)

Cette série: http://www.agence-lepictorium.com/Pictorium/categories/1090522586?fbclid=IwAR2YertrG0NGAaIFlDmp6yo46Qgv9dixUFePLHKeOntwj_wJXL1Z6rjnRBY

La Caverne d’Henri 
11/12/2012. ( Plus de 35 ans de rue.)
https://www.francetvinfo.fr/culture/arts-expos/photographie/sylvain-leser-photographe-du-paris-des-sans-abri-a-l-eglise-saint-leu_3341809.html?fbclid=IwAR2gNHVtesYZOP9G34Hga2ANG1f44JoGVY6KGXGr_Vnz-STiqw0JFBahFss
Pascal dans ses pensées
09/04/2011
Jimmy dort là ou dans une cabine téléphonique et est à la rue depuis 1985
Le Passe Muraille 
06/12/2012

Le passe-muraille
Henri, je ne t’ai jamais rencontrĂ©. Je te connais pourtant par milliers. Comme si je t’avais tricotĂ©. Comme si j’avais fait de la dentelle de tes moindres clins d’Ɠil, de tes faux-pas, Ă  chaque instant. Et je ne sais rien de toi. Je confonds tes rĂ©actions et ton fonctionnement intime. Je devine ce que tu me demandes quand tu ne formes pas de mots. Mais je ne sais rien de ce que tu veux pour toi, ni si tu veux quelque chose de ce que l’on a fait de toi. Ce visage : perdu, tournĂ© vers un extĂ©rieur lui-mĂȘme enfoui dans un sordide souterrain. Vue du trou dans le trou. Que cherches-tu ? Faut-il tout accorder au regard pour oublier le reste ? Ne cherches-tu pas Ă  rafraĂźchir ta peau au courant d’air viciĂ© qui circule ? Ton nez ne cherche-t-il pas Ă  Ă©chapper quelques secondes Ă  l’odeur de ta propre merde qui t’entoure pour lui prĂ©fĂ©rer celle des moteurs. Ou tout simplement rĂȘves-tu ? D’un rĂȘve qui ne cesse jamais. Qui refuse instinctivement et Ă  jamais le cauchemar de ta rĂ©alitĂ©.
Personne ne saura ce que tu as vĂ©cu, ce que tu as refusĂ© et Ă  partir de quel moment tu as dĂ©cidĂ© d’arrĂȘter tout ça. Va savoir
 Tu vois des fleurs ? Des femmes ? Des culs ? Des fleuves ? Des vallĂ©es ? SubmergĂ©es ? Tes digues ont rompu un jour et tu passes Ă  travers la muraille de ce tunnel comme au travers d’une vie qui ne te concerne plus.
Que vois-tu Henri ? Dieu ? Mais Dieu t’a lĂąchĂ© Henri ! Je ne te connaĂźtrais pas si bien je te dirais “Mais regarde-toi donc ! il est oĂč ce dieu ?” Mais surtout pas. Ce qui pourrait t’arriver de pire serait que tu te regardes avec luciditĂ© et surtout, que tu te compares, que tu t’évalues en fonction des autres.
Tu n’es plus rien pour les hommes et tu n’as jamais rien Ă©tĂ© pour Dieu. Ne fais surtout pas ça. Reste oĂč te mĂšne ton regard. Ne passe pas la muraille. Sinon 
 
Patrick Henry
Médecin, fondateur de la premiÚre consultation pour SDF Européenne (1984) à Nanterre et du Recueil Social de la RATP (1992/4).
Henri .
Henri et son créateur .
Tunnel de l’Etoile, sous l’Arc de Triomphe de Paris .
Transcendance
Henri, je le connais depuis longtemps. De temps en temps, il accepte d’ĂȘtre conduit au Centre d’HĂ©bergement et d’Accueil Pour les Personnes Sans-Abri de Nanterre. Il accepte qu’on l’aide Ă  se doucher et qu’on l’habille avec des vĂȘtements propres. Mais nous savons qu’il ne les portera pas et qu’il arpentera les Champs-ÉlysĂ©es nu, simplement emmitouflĂ© dans son Ă©ternelle couverture noire de crasse et les pieds nus. Aucune contingence humaine ne le prĂ©occupe. Cet homme vit dans un autre espace temps. Il vit dans l’instant prĂ©sent semblant sans passĂ© ni avenir. Mais que voit-il ? Et avec qui parle-t-il ?En voyant ces photos d’Henri me reviennent en mĂ©moire les Ă©crits d’Alexis Carrel, prix Nobel de mĂ©decine qui en 1930 propose l’élimination des anormaux par un eugĂ©nisme volontaire. Cette proposition Ă©tait ainsi fondĂ©e : « Ce qui fait l’homme, c’est l’intelligence. Une masse de chair humaine sans intelligence, ce n’est rien. Il y a de mauvaise nature vivante qui n’est d’aucun respect ni d’aucune compassion. Les supprimer rĂ©solument, ce serait leur rendre service, car ils ne pourront jamais que traĂźner une misĂ©rable existence ». Alors, aurait-il fallu euthanasier dignement Henri ?Cette photo nous interroge. Henri est-il une personne humaine ? MĂ©rite-t-il le respect et la dignitĂ©, l’un des droits inaliĂ©nables de l’ĂȘtre humain ? La rĂ©ponse est oui bien sĂ»r. Alors nous devons respecter son mode de vie, son Ă©tat mĂȘme si l’envie nous prenait de l’emmener de force pour le « resocialiser » dans un centre d’hĂ©bergement. Lorsqu’on voit Henri dans sa caverne, ce n’est pas sur un monde mystĂ©rieux – Ă  mi-chemin du rĂšgne animal et de la vie humaine – que le regard s’attarde, ni sur de sordides guenilles dĂ©voilant un morceau de peau rongĂ© par quelques vermines. En revanche, jamais la sensation de l’autre et la perception de celui qui effraie mais gĂ©nĂšre aussi de l’empathie nous semblent aussi tangibles. Rarement la question de l’ipsĂ©itĂ© (le soi-mĂȘme, ce qui fait qu’un ĂȘtre est lui-mĂȘme et non pas un autre) et de la mĂȘmetĂ© (le mĂȘme) ne se pose avec autant d’acuitĂ©. Ce « dĂ©chet humain » demeure-t-il encore un ĂȘtre humain ? Un frĂšre en humanitude ? Saura-t-on jamais s’il a connu une vie normale, avant ? S’il a aimĂ© et bercĂ© des enfants ? L’a-t-il d’ailleurs Ă©tĂ© lui-mĂȘme ?Cette image nous amĂšne Ă  des rĂ©flexions mĂ©taphysiques sur le mystĂšre de l’Homme. Et si Henri du fond de son « incurable folie » Ă©tait heureux, inscrit dans une longue tradition Ă©rĂ©mitique, celle de la vie d’ermite ? Lui qui est passĂ© de l’autre cĂŽtĂ© du miroir, au milieu des voitures et des touristes japonais, dialogue-t-il avec quelques prophĂštes assis au pied d’un cĂšdre de son pays natal ? Quoi qu’il en soit, regardons avec respect ces photos dont il nous fait cadeau car c’est bien de l’homme qu’il s’agit. 
Jacques Hassin MĂ©decin et directeur de la Maison de Nanterre (le CASH : Centre d’accueil et de soins hospitaliers de Nanterre)
Triste mauvaise nouvelle , je viens d’apprendre que Jean-Michel Ă©tait dĂ©cĂ©dĂ© en octobre
2017 Ă  l’hĂŽpital.
Merde in France
Jean-Michel d’Austerlitz, depuis 1996

18/01/2013 – France / Ile-de-France / Paris – Christine, la Mexicaine au poncho, sous les premiers flocons de neige de l’hiver 2013, elle est assise contre sa grille depuis deux ans, Ă  la rue depuis sept ans.
Merde in France
25/04/2012
Alain. Un ami m’a dit en voyant ce portrait, Croman next gĂ©nĂ©ration, une autre, mais on dirait GĂ©rard Lanvin…
Ceux qui l’ont croisĂ© s’en souviennent.
FĂ©vrier 2012
Wenceslas
Hachmed et Marianne
Mort de Froid
Cadavre d’un sans abri.
Ce sans-domicile fixe de 45 ans a été retrouvé mort de
froid ce matin Ă  Paris, sous le pont Charles-De-Gaulle (dans le
XIIe arrondissement).
Le mĂ©decin du Samu a constatĂ© le dĂ©cĂšs du quadragĂ©naire, qui est, selon lui, mort d’hypothermie. 13/12/2012 
Merde in France
03/06/2012 – Je me suis arrĂȘtĂ© a nouveau ce soir aupres de Franck qui vit sur une grille d’aeration de mĂ©tro. Station Quai de la Gare, Ă  deux pas du Ministere des finances de Bercy. Nous avons abordĂ© le sujet de Dieu, et il m’a dit en me regardant: « Sur la Croix c’Ă©tait une Boucherie ». Sylvain Leser / Le Pictorium
Tombé si proche du but !
Hiver 2012, Gare d’Austerlitz :
Le cocon d’un mort vivant…
Ce soir la, j’irai le sortir de lĂ .
Je tournais Wenceslas pour le film « Au Bord Du Monde » avec Claus et Nicolas, lorsque soudain, j’ai vu (c’est mon mĂ©tier) ce type en face Ă  cĂŽtĂ© de la gare sur le trottoir dĂ©sertĂ©, vers 2h du mat, une nuit d’hiver humide et glaçante. J’ai vu ce type dĂ©sespĂ©rĂ© et transi de froid arracher un sac-poubelle de l’abri de bus et retourner s’allonger sur sa bouche de chaleur : la condensation commençait Ă  se faire, il allait mourir gazĂ© et Ă©touffĂ©, cherchant par rĂ©flexe cet abri de malheur… Alors, tout naturellement et juste pour ne pas le voir crever comme ça, je l’ai sorti de lĂ  ; un piĂ©ton tardif a assistĂ© Ă  la scĂšne et en passant m’a dit juste avec des grands yeux : «Flippant !»
Je lui ai refilĂ© le parapluie du moment pour qu’il finisse sa nuit assis. Quelques jours aprĂšs je l’ai croisĂ© : mĂȘmes fringues Ă©videmment mais loin d’ĂȘtre un clochard, juste un sans boulot, sans argent, sans famille active, sans toit et en rupture avec que sais-je ?
Ils sont nombreux lĂ  Ă  Paris, cette nuit… Un de plus va crever tout seul comme une merde. Donnez un coup de main aux grandes associations sĂ©rieuses et Ă  l’Etat. Eux seul peuvent faire quelque chose de dĂ©cent. 
//TEXTE EN COURS D’ECRITURE NE PAS REPRODUIRE EN L’ETAT SOYEZ PATIENT// 
10/05/2013 – Sylvain Leser / Le Pictorium
Alain que j’ai photographiĂ© en 1992 sur ce mĂȘme chemin…
Merde in France
26/11/2011
Maraude dans le metro
21/02/2013 – – Emile, vieil homme sans-abri qui passe ses nuits debout, dans un coin triste de la station Auber, avec un regard hagard et dans une immobilite quasi constante.
Merde in France
POLKA N° 18 
Mai 2012
28/02/2012 – France / Ile-de-France / Paris – Mr Philong de Saigon est un clochard qui vit au metro Opera. Je le vois depuis plusieurs mois trainant son barda, le deplacant de temps a autre a la recherche d’un endroit ou il pourra passer la nuit au calme. Parfois il prend le metro, va jusqu’a la Courneuve, mais il revient inlassablement a cette station. Sylvain Leser / Le Pictorium Merde in France – 28/02/2012 –
Les Cloches des Monuments 
25/10/2011
Maraude dans le métro
28/01/2013 – Le surnomme Jesus.
Décédé depuis

Le 17 octobre : Exposition de photographies de la Croix Rouge de Bourg-la-Reine (Octobre 2017). Cette exposition est offerte Ă  la Croix Rouge et devient itinĂ©rante en interne et en externe, grĂące au service de communication de la Croix Rouge & la Ville de Bourg-la-Reine. En partenariat avec l’ Agence Le Pictorium

(Texte de 2017 en cours d’Ă©criture) – texte de prĂ©sentation de la sĂ©rie en 2013 : – « LES AUTRES » – Depuis l’annĂ©e 2009, je vais Ă  la rencontre de ceux que l‘on appelle les sans-toit-stable, tentant ainsi de mettre un peu de lumiĂšre sur la misĂšre urbaine parisienne. La premiĂšre image de ce sujet est le portrait d’une femme africaine qui a vĂ©cu quelques semaines sur un banc de l‘avenue Foch. Je me suis dit, la voyant lĂ , dans sa nuditĂ© et comme perdue, que quelque chose d’anormal se passait et que « le Boudu », ce vieux clochard que je croisais rĂ©guliĂšrement deci delĂ , avait bien changĂ©. En 2010, au cours d’un voyage en Hongrie, je rencontre le cĂ©lĂšbre pasteur GĂ bor IvĂ nyi qui oeuvre sur tous les fronts de la prĂ©caritĂ©. Il me posa cette question: “Et chez vous, comment ça va ?”. Je lui rĂ©pondis trop vite: “Tout va bien !” De retour Ă  Paris, je me dĂ©cide Ă  lui envoyer une vaste carte postale moderne et rĂ©elle, tel un Ă©tat des lieux des rues de Paris, oĂč des hommes et des femmes de tous bords ont pris refuge, le plus souvent auprĂšs des monuments parisiens dont les lumiĂšres apportent un sentiment de sĂ©curitĂ© dans l’isolement redoutĂ© de la nuit. Je donne alors un angle d’approche Ă  cette vaste sĂ©rie d’images de laissĂ©s-pour-compte en la nommant : « Les cloches des monuments ». La mĂȘme annĂ©e, quelques voyages Ă  Calcutta et Bombay me rappellent qu’à toutes les Ă©poques et en tous lieux, il y a eu et il y aura des indigents et des intouchables. En revenant, je constate que dans le pays oĂč j’ai grandi, la situation est en train de changer. Des centaines d’hommes et de femmes dorment Ă©galement Ă  mĂȘme le pavĂ©, errant comme des fantĂŽmes sur les talus, les quais, les trottoirs, les grilles de chauffage urbain, dans les stations de mĂ©tro, les tunnels, les bois et autres trous oĂč l’on peut se cacher pour survivre. Alors je me permets de renommer ce sujet: « Merde in France », expression que je prononce avec exclamation et interrogation. Sur le terrain, les proportions sont telles que probablement aucun observateur des causes sociales ne pourrait aujourd’hui analyser la situation avec justesse. AprĂšs trois annĂ©es de vadrouille nocturne, je livre une sĂ©rie non exhaustive de portraits saisis dans leur contexte, constituant ainsi un reportage que j’appelle Ă  prĂ©sent: « Les Autres ».

« De toutes les idĂ©es prĂ©conçues vĂ©hiculĂ©es par l’humanitĂ©, aucune ne surpasse en ridicule les critiques Ă©mises sur les habitudes des pauvres par les biens logĂ©s, les biens chauffĂ©s et les biens nourris. » Hermann Melville Redburn, son premier voyage1849

LĂ , dehors, il y a environ X individus, dont X % de femmes qui vivent dans l’espace public de Paris, rapporte le pĂŽle EpidĂ©miologie de l’observatoire du SAMU social. Quel est le point de rupture ? Y a-t-il plus d’addictions et de troubles psychiatriques que dans la population moyenne ? Ou bien ces personnes que je suis allĂ© voir chez elles, dans la rue, sont-elles M. et Mme tout le monde, eux, vous et moi, que la pauvretĂ© aurait amenĂ©s lĂ  ? En rĂ©alitĂ©, je pense qu’il n’y a aucune rĂ©ponse toute faite qui ne tienne la route les concernant et que c’est leur propre histoire, blessures et dĂ©mons qui les ont conduits lĂ . Certains, qui Ă©taient sans doute timbrĂ©s sont devenus fous, prenant ainsi refuge dans une vie coupĂ©e de liens affectifs et familiaux, assis des journĂ©es entiĂšres sur le bord de la route Ă  regarder la bande humaine passante et affairĂ©e qui ne les voit plus. Quelques uns boivent, mais ce n’est vraiment pas ce qui les rĂ©unit sur le trottoir. J’ai rencontrĂ© des hommes et des femmes pour qui une paire de chaussures mouillĂ©es Ă©tait une catastrophe. Leur Ă©tat de survie favorise des formes Ă©videntes de rĂ©gression, mais tous ne se laissent pas aller Ă  la clochardisation qui s’avĂšre ĂȘtre l’étape finale. J’ai remarquĂ© chez la plupart, de la douceur mĂ©langĂ©e Ă  de la peur, des voix trĂšs douces, presque effacĂ©es, de la gentillesse et de l’humilitĂ© lorsque de l’attention leur est proposĂ©e. Je les ai pris en photo pour ne pas les oublier et je les montre afin que l’on ne s’habitue pas. AprĂšs ces trois annĂ©es de maraudes, il m’est encore difficile d’imaginer et d’intĂ©grer ce que c’est rĂ©ellement que de vivre sans jamais rentrer dans un chez soi, au chaud, se laver, manger Ă  sa faim et ĂȘtre en sĂ©curitĂ©. Toutes ces nuits passĂ©es Ă  leurs cĂŽtĂ©s m’ont apportĂ© davantage de questions que de rĂ©ponses. À suivre 2017

Gabor, le Moïse Hongrois: 👉 https://lamehumaine.com/2019/12/06/le-vent-dest/

👉 http://auborddumonde.fr

👉 https://www.francetvinfo.fr/culture/arts-expos/photographie/sylvain-leser-photographe-du-paris-des-sans-abri-a-l-eglise-saint-leu_3341809.html?fbclid=IwAR1BmPOIg0U0cVhe0StxXMKq2H-93Hb6mkXfcRoYHK7CedU51_ppux3ZTXA

👉 https://lamehumaine.com/2019/12/03/lzr-clodographe/

👉 https://lamehumaine.com/pro-bono-publico/?fbclid=IwAR1s3GRC3Q36lHaiMWSCjORZfQSLWb5cgNEKtHtZ0uWvW7mbdaweOcQSBVQ

👉 LA MONTÉE DES MARGES, LibĂ©ration:

Trois pages:


Clic Nouveau lien internet vers le livre : https://www.cohen-cohen.fr/pages/detail.php?id=18

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